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Medvedev a fait un nouveau commentaire inquiétant pour les pays voisins de la Russie

D’autres pays pourraient être en difficulté

L’ancien président russe Dmitri Medvedev a fait un nouveau commentaire inquiétant sur le sort des régions proches de la Russie lors d’un discours prononcé à l’occasion d’un congrès du Parti unifié de Russie, le parti politique au pouvoir dirigé par Vladimir Poutine.

Medvedev est un proche allié de Poutine et a déjà été président de la Russie. Il est resté un acteur politique puissant en Russie. Il est actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe.

Un pyromane et un extrémiste de la politique étrangère

Souvent perçu comme un incendiaire contre l’Occident, et comme l’une des personnalités les plus virulentes en matière de politique étrangère, Medvedev a été décrit comme l’homme que les dirigeants russes choisissaient pour filtrer leurs déclarations contre l’Occident en premier lieu.

L’expérience de l’Ukraine pourrait être nécessaire ailleurs

« D’ailleurs, cette expérience [d’occupation d’oblasts ukrainiens] pourrait être utile à l’avenir si de nouvelles régions, très proches, apparaissent dans notre pays », a-t-il déclaré. « Après tout, cela pourrait arriver », a déclaré Medvedev, selon une traduction de Newsweek.

Taïwan: quatre soldats ont été inculpés d’espionnage au profit de la Chine

Quatre soldats taïwanais ont été inculpés, vendredi 6 décembre, pour avoir divulgué des informations confidentielles à la Chine entre 2022 et 2024, a-t-on indiqué de source judiciaire. Trois des soldats étaient membres de l’unité militaire en charge de la sécurité du bureau du chef de l’État, a indiqué Wen Lii, le porte-parole du président. Le quatrième était en service au sein du commandement pour informations et télécommunications du ministère de la Défense. Les quatre hommes étaient en service lorsqu’ils ont, selon le parquet, utilisé leurs téléphones portables pour photographier des informations militaires qui ont été transmises à des «agents chinois», rapporte l’AFP.

Corée du Sud: le président Yoon Suk-yeol de plus en plus isolé, une motion de destitution votée samedi

En Corée du Sud, depuis l’annonce de la loi martiale et son retrait, les manifestations se poursuivent dans les rues de Séoul. Aujourd’hui encore, les Sud-Coréens se sont réunis dans le centre-ville pour appeler à la démission du président, visé par une enquête de police pour trahison après son coup de force militaire. Une motion de destitution va également être votée demain au Parlement. Parallèlement, trois hauts gradés de l’armée sud-coréenne ont été suspendus.

L’armée refusera les nouveaux ordres de Yoon Suk-yeol 

Des rumeurs circulent sur un possible retour de la loi martiale pour bloquer le vote de la destitution. « Avec le vote sur la destitution prévu [samedi à 19h (locales), 10h (TU)], les heures qui viennent sont extrêmement dangereuses. Cette nuit sera le moment le plus critique », a dit le chef de l’opposition Lee Jae-myung dans un entretien à l’AFP vendredi. Ses collègues députés vont camper à l’Assemblée jusqu’au moment décisif. Les chefs d’état-major ont indiqué refuser tout nouvel ordre de la part du président pour protéger le pays. Trois hauts gradés de l’armée sud-coréenne ont été suspendus pour leur participation aux opérations pendant l’éphémère loi martiale, a également annoncé, vendredi, le ministère de la Défense. Il s’agit du commandant militaire de Séoul, de celui des forces spéciales et de celui du contre-espionnage, a indiqué le ministère dans un communiqué repris par l’agence de presse française.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken s’est dit « confiant » quant à la « résilience démocratique » de la Corée du Sud, lors d’un premier entretien téléphonique avec son homologue sud-coréen depuis le coup de force du président. M. Blinken « a parlé avec le ministre des Affaires étrangères [Cho Tae-yul, NDLR] […] Il a salué la levée de la loi martiale, exprimé sa confiance quant à la résilience démocratique (de la Corée du Sud) et réaffirmé l’engagement sans faille des États-Unis dans notre alliance », a écrit sur X le porte-parole du département d’État, Matthew Miller.

À la surprise générale, le président Yoon Suk-yeol avait décrété la loi martiale le mardi 3 décembre au soir et tenté de museler le Parlement, où son camp est minoritaire, en y envoyant l’armée.

Passagère russe à bord d’un New York-Paris : Svetlana D. arrêtée mercredi soir aux États-Unis

Il y a huit jours, cette femme d’origine russe âgée de 57 ans, était arrêtée par la police française aux frontières, la PAF, à la descente d’un vol Delta Airlines qui venait de se poser à l’aéroport Roissy-Charles de Gaulle. Elle avait réussi à se faufiler dans l’avion sans présenter de carte d’embarquement, ni être contrôlée. Le personnel de bord l’avait repérée alors qu’elle se cachait aux toilettes. Après trois jours sous surveillance policière, la passagère clandestine aux justifications mystérieuses, avait refusé samedi de réembarquer sur un vol retour. Puis de nouveau mardi, hurlant son désaccord quand un officier de sécurité américain a tenté de la menotter. C’est finalement mercredi soir qu’elle a traversé l’Atlantique.

L’avion à bord duquel elle se trouvait, de Delta Air Lines encore, et en règle cette fois, a atterri peu après 17 heures (3 heures du matin ce jeudi, heure française) à l’aéroport international JFK. Elle s’est montrée « calme et docile tout au long du vol », selon un producteur de CNN qui se trouvait à bord. Encadrée par deux policiers, elle était assise à l’arrière de l’avion, dans l’allée centrale. À l’arrivée, au moins une douzaine de représentants des forces de l’ordre de différentes agences se tenaient devant la porte d’embarquement, et la dame est restée à bord pendant que les autres passagers descendaient

Elle affirme avoir été empoisonnée par les services secrets russes

Mercredi soir, la compagnie aérienne a publié un communiqué détaillé sur cette affaire, mais ne donne aucun détail tangible sur la manière dont Svetlana D est parvenue à déjouer les contrôles pour monter clandestinement à bord de l’avion. Delta affirme que « l’écart par rapport aux procédures standard est la cause principale de cet incident » mercredi dernier. Remerciant les autorités françaises et américaines pour leur aide, la compagnie américaine assure « continuer à travailler en étroite collaboration avec nos régulateurs, les forces de l’ordre et les autres parties prenantes concernées. Rien n’est plus important que la sûreté et la sécurité. »

La passagère aurait d’abord contourné un employé en charge de la file d’attente au point de contrôle des membres d’équipage au terminal 4 de l’aéroport JFK, puis les arrêts où sa carte d’embarquement et son passeport aurait dû être vérifiés, selon un porte-parole de la Transportation Security Administration (TSA). À l’embarquement, déjà en zone internationale, elle s’est placée au milieu de ce qui semblait être une famille voyageant ensemble, selon un haut responsable des forces de l’ordre. Elle ne transportait aucun objet interdit, selon le porte-parole de la TSA, son sac à main ayant été inspecté.

Grâce à son statut de résidente permanente, la ressortissante russe a vécu dans la région de Philadelphie. Aux autorités françaises, Svetlana D. a affirmé avoir été empoisonnée au polonium par les services secrets russes avec l’aide des services secrets américain. Elle aurait fui le territoire américain pour se réfugier en Europe. Des examens médicaux pratiqués en France n’auraient rien révélé à ce sujet, selon nos informations. Elle expliquera sans doute au tribunal les raisons pour lesquelles elle pensait avoir été empoisonnée.

Un risque d’instabilité mondiale, souligné par Trudeau : ses propos sur Poutine qui risquent de ne pas être bien accueillis par la Russie

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est un fervent défenseur de l’Ukraine depuis que la Russie a lancé son invasion totale du pays en février 2022, et il s’oppose désormais à ce que Moscou soit autorisée à conserver tout territoire ukrainien dont elle s’est emparée.

La 70e session annuelle de l’OTAN à Montréal

S’adressant à une assemblée de l’OTAN à Montréal le 25 novembre, Trudeau a expliqué que le fait de permettre à Moscou de conserver les territoires qu’elle a capturés depuis le déclenchement de la guerre aurait des conséquences inquiétantes pour le reste du monde.

Le Canada est conscient de la menace mondiale que représente Poutine

Le Premier ministre canadien a expliqué qu’en tant que puissance intermédiaire, le Canada comprenait l’importance de protéger l’ordre mondial fondé sur des règles, sur lequel la société moderne s’est construite, et a déclaré que l’invasion de Vladimir Poutine menaçait cet ordre.

« Si Cristiano Ronaldo, Neymar et Mbappé quittent X, Elon Musk sera obligé de réagir »: le sport pro toujours fidèle à X

Aujourd’hui, hormis ces deux clubs de Bundesliga, aucune autre organisation sportive d’importance dans le monde n’a décidé de quitter le réseau social du boss de Tesla et SpaceX. En France, l’Olympique de Marseille compte 24 millions de fans sur ses différents comptes sociaux, dont 4,3 sur celui de Musk.

« À ce stade, l’OM n’envisage pas de quitter X, répond le club. De par sa grande communauté en France et dans le monde, l’OM se doit d’être présent sur un maximum de plateformes afin d’être innovant et performant sur le digital, mais surtout avoir un lien direct avec ses supporters. Concernant X, si le club n’ignore pas les dérives observées sur ce réseau et reste attentif à la situation, il ne peut pas, aujourd’hui, délaisser ses 4,3 millions de fans en ne communiquant plus avec eux par ce biais au quotidien. »

Le Red Star, lui, pensionnaire de Ligue 2, a franchi le pas et quitté X cette semaine. Contacté également, le PSG n’a pas souhaité s’exprimer publiquement sur le sujet. Mais, en interne, aucune politique de ce type n’est à l’ordre du jour, les 15,2 millions de followers du club parisien contribuant à la valeur d’une marque en pleine expansion mondiale.

« Les clubs, comme les grandes entreprises, bougent peu parce qu’ils ont tout à perdre, estime Cédric Landu. Quand ils s’engagent, c’est qu’ils sont contraints. Aujourd’hui, si je suis le PSG, Manchester United ou le Real Madrid, ai-je des raisons de quitter X ? Je vois qu’il n’y a que deux clubs, des petits, qui l’ont fait et il n’y a pas de pression médiatique ou populaire qui me pousse à le faire. Donc, au final, non, il n’y a pas de sujet parce qu’il n’y a pas de risque de destruction de valeur en restant sur X et pas certain qu’il y ait un gain à obtenir en le quittant. »

Espionnage : le FBI conseille aux utilisateurs d’iPhone et d’Android d’arrêter d’envoyer des SMS

Plusieurs agences américaines dont le FBI ont récemment recommandé à la population de privilégier l’utilisation de messageries cryptées comme Signal ou WhatsApp plutôt que l’envoi de SMS. Notamment lorsqu’il s’agit de communiquer entre un iPhone et un téléphone fonctionnant sous Android. Le but ? Échapper à une cyberattaque chinoise.

Les États-Unis sont-ils espionnés par la Chine ? C’est ce que redoutent le FBI et la Cisa (l’agence américaine de cyberdéfense). Les deux structures soupçonnent en effet Salt Typhoon, un groupe associé au ministère chinois de la Sécurité publique, de mener de vastes cyberattaques sur les réseaux de communication des États-Unis dans le but de collecter des données sensibles. Pour tenter d’éviter cela, les autorités américaines recommandent aux citoyens de privilégier les messageries cryptées et d’éviter au maximum les communications par SMS, rapporte Forbes . Un conseil qui vaut en réalité pour le monde entier.

Un piratage d’ampleur

« Utilisez un téléphone portable qui reçoit automatiquement les dernières mises à jour du système d’exploitation, gère de manière responsable le cryptage et utilise l’authentification à multiples facteurs pour les comptes de messagerie, de médias sociaux et d’outils de collaboration », a déclaré un haut responsable du FBI. Un membre de la Cisa a également exhorté les Américains à « utiliser leurs communications cryptées lorsqu’ils en disposent ».

En ce qui concerne les informations connues jusqu’à présent sur les attaques présumées de Salt Typhoon, le FBI a précisé que de nombreuses métadonnées liées à des appels et messages texte avaient déjà été volées. Selon  BFM Tech & Co , pas moins de 80 sociétés de télécommunications et autres fournisseurs d’accès à Internet auraient été ciblés.

Donald Trump confie la lutte contre l’immigration à Tom Homan, un « dur parmi les durs »

Le président élu des États-Unis a annoncé dimanche 10 novembre le retour de Tom Homan à la tête de l’agence responsable du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE). Cet adepte des mesures radicales avait déjà eu ce rôle lors du premier mandat de Donald Trump.

Le « tsar des frontières », comme il est surnommé par Donald Trump et ses partisans, fait un retour par la grande porte. Tom Homan, 62 ans, sera en charge des questions d’immigration à travers l’agence responsable du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE), comme lors du premier mandat du républicain (2017-2021), a annoncé ce dernier dimanche 10 novembre

« J’ai le plaisir de vous annoncer que l’ancien directeur de l’ICE et pilier du contrôle des frontières, Tom Homan, rejoindra l’administration Trump où il sera chargé des frontières de notre pays », a écrit le président élu des États-Unis sur sur son réseau Truth Social.

À la tête de l’ICE, 4 000 enfants avaient été séparés de leurs parents

Tenant d’une ligne radicale sur l’immigration, Tom Homan était resté conseiller de Donald Trump au cours de cette campagne. Lorsqu’il était à la tête de l’ICE, au cours du premier mandat de Donald Trump, près de 4 000 enfants migrants avaient été séparés de leurs parents, placés en détention. C’est un « dur parmi les durs », expliquait à Ouest-France le journaliste David Thomson lors de la campagne. Avec le retour au pouvoir de Trump, « ce sera tolérance zéro et ce serait du jamais-vu pour les États-Unis », précisait-il en septembre.

À Bakou, la COP29 à la recherche d’argent pour financer la transition énergétique

Les représentants de 198 pays, dont une centaine de chefs d’État, se réunissent à partir de ce lundi 11 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan, pour la 29e conférence de l’ONU sur le changement climatique. Alors que les températures mondiales battent cette année encore tous les records et que les catastrophes climatiques s’enchaînent, la COP29 est qualifiée de « COP de la finance ».

Les ambitions de l’accord de Paris sont “en grand danger”, a alerté l’ONU ce lundi 11 novembre, à l’ouverture de la conférence climatique de l’ONU à Bakou. Adopté par les pays du monde entier en 2015, cet accord vise à contenir le réchauffement mondial à 2°C.

Les ambitions de l’accord de Paris sont en grand danger”, a alerté l’ONU ce lundi 11 novembre, à l’ouverture de la conférence climatique de l’ONU à Bakou (COP29), avec l’année 2024 quasiment assurée de devenir l’année la plus chaude jamais enregistrée.

“De janvier à septembre 2024, la température moyenne de l’air à la surface du globe était supérieure de 1,54°C à la moyenne préindustrielle”, relève un nouveau bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence de l’ONU qui souligne que le réchauffement à long terme mesuré sur plusieurs décennies reste, lui, inférieur à la limite de 1,5°C mentionnée dans l’accord de Paris de 2015.

Garry Conille demande aux Presses Nationales de bloquer la publication de l’arrêté mettant fin à ses fonctions

Dans une lettre adressée à Ronald Saint-Jean, Directeur Général des Presses Nationales, le Premier Ministre Garry Conille a expressément demandé de ne pas publier l’arrêté du Conseil Présidentiel de Transition visant à mettre fin à ses fonctions.
Le Premier Ministre explique que la résolution du Conseil Présidentiel de Transition est « manifestement entachée d’illégalité » et précise que « la publication des actes officiels au journal officiel, le Moniteur, relève de la responsabilité du Gouvernement ».

Conscient des manœuvres des conseillers présidentiels pour renverser le gouvernement, Garry Conille conclut sa lettre en sollicitant « l’urgente attention » de son destinataire pour éviter la publication de cet arrêté qui, selon lui, n’a pas de base légale.

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