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Espionnage : le FBI conseille aux utilisateurs d’iPhone et d’Android d’arrêter d’envoyer des SMS

Plusieurs agences américaines dont le FBI ont récemment recommandé à la population de privilégier l’utilisation de messageries cryptées comme Signal ou WhatsApp plutôt que l’envoi de SMS. Notamment lorsqu’il s’agit de communiquer entre un iPhone et un téléphone fonctionnant sous Android. Le but ? Échapper à une cyberattaque chinoise.

Les États-Unis sont-ils espionnés par la Chine ? C’est ce que redoutent le FBI et la Cisa (l’agence américaine de cyberdéfense). Les deux structures soupçonnent en effet Salt Typhoon, un groupe associé au ministère chinois de la Sécurité publique, de mener de vastes cyberattaques sur les réseaux de communication des États-Unis dans le but de collecter des données sensibles. Pour tenter d’éviter cela, les autorités américaines recommandent aux citoyens de privilégier les messageries cryptées et d’éviter au maximum les communications par SMS, rapporte Forbes . Un conseil qui vaut en réalité pour le monde entier.

Un piratage d’ampleur

« Utilisez un téléphone portable qui reçoit automatiquement les dernières mises à jour du système d’exploitation, gère de manière responsable le cryptage et utilise l’authentification à multiples facteurs pour les comptes de messagerie, de médias sociaux et d’outils de collaboration », a déclaré un haut responsable du FBI. Un membre de la Cisa a également exhorté les Américains à « utiliser leurs communications cryptées lorsqu’ils en disposent ».

En ce qui concerne les informations connues jusqu’à présent sur les attaques présumées de Salt Typhoon, le FBI a précisé que de nombreuses métadonnées liées à des appels et messages texte avaient déjà été volées. Selon  BFM Tech & Co , pas moins de 80 sociétés de télécommunications et autres fournisseurs d’accès à Internet auraient été ciblés.

Donald Trump confie la lutte contre l’immigration à Tom Homan, un « dur parmi les durs »

Le président élu des États-Unis a annoncé dimanche 10 novembre le retour de Tom Homan à la tête de l’agence responsable du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE). Cet adepte des mesures radicales avait déjà eu ce rôle lors du premier mandat de Donald Trump.

Le « tsar des frontières », comme il est surnommé par Donald Trump et ses partisans, fait un retour par la grande porte. Tom Homan, 62 ans, sera en charge des questions d’immigration à travers l’agence responsable du contrôle des frontières et de l’immigration (ICE), comme lors du premier mandat du républicain (2017-2021), a annoncé ce dernier dimanche 10 novembre

« J’ai le plaisir de vous annoncer que l’ancien directeur de l’ICE et pilier du contrôle des frontières, Tom Homan, rejoindra l’administration Trump où il sera chargé des frontières de notre pays », a écrit le président élu des États-Unis sur sur son réseau Truth Social.

À la tête de l’ICE, 4 000 enfants avaient été séparés de leurs parents

Tenant d’une ligne radicale sur l’immigration, Tom Homan était resté conseiller de Donald Trump au cours de cette campagne. Lorsqu’il était à la tête de l’ICE, au cours du premier mandat de Donald Trump, près de 4 000 enfants migrants avaient été séparés de leurs parents, placés en détention. C’est un « dur parmi les durs », expliquait à Ouest-France le journaliste David Thomson lors de la campagne. Avec le retour au pouvoir de Trump, « ce sera tolérance zéro et ce serait du jamais-vu pour les États-Unis », précisait-il en septembre.

À Bakou, la COP29 à la recherche d’argent pour financer la transition énergétique

Les représentants de 198 pays, dont une centaine de chefs d’État, se réunissent à partir de ce lundi 11 novembre à Bakou, en Azerbaïdjan, pour la 29e conférence de l’ONU sur le changement climatique. Alors que les températures mondiales battent cette année encore tous les records et que les catastrophes climatiques s’enchaînent, la COP29 est qualifiée de « COP de la finance ».

Les ambitions de l’accord de Paris sont “en grand danger”, a alerté l’ONU ce lundi 11 novembre, à l’ouverture de la conférence climatique de l’ONU à Bakou. Adopté par les pays du monde entier en 2015, cet accord vise à contenir le réchauffement mondial à 2°C.

Les ambitions de l’accord de Paris sont en grand danger”, a alerté l’ONU ce lundi 11 novembre, à l’ouverture de la conférence climatique de l’ONU à Bakou (COP29), avec l’année 2024 quasiment assurée de devenir l’année la plus chaude jamais enregistrée.

“De janvier à septembre 2024, la température moyenne de l’air à la surface du globe était supérieure de 1,54°C à la moyenne préindustrielle”, relève un nouveau bulletin de l’Organisation météorologique mondiale (OMM), une agence de l’ONU qui souligne que le réchauffement à long terme mesuré sur plusieurs décennies reste, lui, inférieur à la limite de 1,5°C mentionnée dans l’accord de Paris de 2015.

Garry Conille demande aux Presses Nationales de bloquer la publication de l’arrêté mettant fin à ses fonctions

Dans une lettre adressée à Ronald Saint-Jean, Directeur Général des Presses Nationales, le Premier Ministre Garry Conille a expressément demandé de ne pas publier l’arrêté du Conseil Présidentiel de Transition visant à mettre fin à ses fonctions.
Le Premier Ministre explique que la résolution du Conseil Présidentiel de Transition est « manifestement entachée d’illégalité » et précise que « la publication des actes officiels au journal officiel, le Moniteur, relève de la responsabilité du Gouvernement ».

Conscient des manœuvres des conseillers présidentiels pour renverser le gouvernement, Garry Conille conclut sa lettre en sollicitant « l’urgente attention » de son destinataire pour éviter la publication de cet arrêté qui, selon lui, n’a pas de base légale.

Trump l’emporte, en route vers la Maison blanche

Le candidat républicain a remporté 265 grands électeurs, devançant sa rivale démocrate, la vice-présidente sortante Kamala Harris, créditée de 194 grands électeurs. Pour être élu, un candidat doit remporter au moins 270 des 538 “grands électeurs” qui le désigneront formellement président le 17 décembre.

Donald Trump a remporté 26 Etats, dont la Pennsylvanie, la Caroline du Nord et la Géorgie, trois des sept Etats considérés comme “pivots” à même de faire basculer le scrutin dans un camp ou dans l’autre. Sa rivale démocrate compte pour l’heure 15 Etats.

Outre l’élection présidentielle, les Américains étaient appelés à renouveler entièrement la Chambre des représentants et un tiers du Sénat, un scrutin là aussi crucial pour déterminer la latitude dont disposera le futur locataire de la Maison blanche.

Une fusillade et une rixe font cinq blessés à Poitiers, entre 400 et 600 personnes impliquées

Un scénario de guérilla urbaine. Une fusillade, survenue dans la nuit du jeudi 31 octobre au vendredi 1er novembre, a fait cinq blessés, dont certains très grièvement, dans le quartier des Couronneries à Poitiers (Vienne), a fait savoir la préfecture du département dans un message posté cette nuit sur X (ex-Twitter). Un des blessés, un mineur de 15 ans, est entre la vie et la mort, a indiqué une source policière à l’AFP

Selon Bruno Retailleau, le ministre de l’Intérieur, la fusillade a d’abord éclaté dans un restaurant vers 22h45, avant de se transformer en « rixe entre bandes rivales » qui a impliqué entre 400 et 600 personnes, équipées de « toutes sortes d’armes », a-t-il expliqué ce jeudi matin sur BFMTV/RMC.

Cinq personnes ont été blessées, dont certaines très grièvement, a-t-il poursuivi, ajoutant que les faits seraient « liés au trafic de drogue ». Un adolescent de 15 ans a été très grièvement blessé. Son pronostic vital est engagé, selon une source policière à l’AFP.

Selon nos confrères de France Bleu Poitou, la fusillade a éclaté dans la soirée, entre 22h30 et 23 heures.

Le préfet sur place

Selon la préfecture de la Vienne, « des tensions » ont éclaté dans la soirée « entre différents groupes ». Elles ont nécessité « l’intervention de la police et de la gendarmerie », poursuit la préfecture, sans donner davantage de détails

Le préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier, s’est immédiatement rendu sur place, ajoute le service de l’État dans son message, qui précise que des renforts de police vont être déployés dans le quartier des Couronneries, ce vendredi 1er novembre.

Élections aux États-Unis : Ohio, Arizona, Pennsylvanie… les batailles à suivre pour le Sénat

Tous les deux ans, un tiers des 100 sièges du Sénat américain sont renouvelés. Le 5 novembre, les électeurs américains choisiront un nouveau président, et dans 17 États, ils renouvelleront aussi leurs sénateurs. L’enjeu est de taille tant le rapport de force politique de la 118e mandature tenait à un fil : 50 sénateurs républicains, 46 sénateurs démocrates, 4 indépendants qui, pour trois d’entre eux ont, jusqu’ici, voté avec les démocrates, et la voix prépondérante de la vice-présidente Kamala Harris, qui peut les départager en cas d’égalité.

Sur les 100 sièges, 38 républicains et 28 démocrates ne sont pas à renouveler. Restent 34 sièges, certains plus exposés que d’autres.

Dans l’Ohio, terre de JD Vance. Le résultat des élections dans l’un des États les plus riches en pétrole du pays va être doublement scruté cette année : le sénateur républicain élu n’est autre que JD Vance, le colistier de Donald Trump, et futur vice-président si le candidat républicain est réélu à la Maison-Blanche. Quant au sortant démocrate, Sherrod Brown, puissant président de la commission bancaire du Sénat, il a pour lui une base forte parmi la classe ouvrière, mais il affronte un républicain imposé par Trump : Bernie Moreno, concessionnaire automobile à la fortune imposante, est arrivé de Colombie à 5 ans et naturalisé Américain à 18. Il a longtemps soutenu l’idée de régulariser des sans-papiers, il est désormais favorable à leur expulsion et la construction d’un mur plus grand encore à la frontière avec le Mexique.

Le thème migratoire est particulièrement porteur dans l’Ohio : la ville de Springfield est devenue le terrain de jeu d’un Trump jouant la frayeur à l’idée de se rendre dans la ville où se sont installés 15 000 Haïtiens ces dernières années. Les réseaux républicains ont multiplié les accusations contre cette diaspora, et Trump a repris à son compte, en meeting, celle consistant à les accuser de voler des chats, des chiens et des oies pour les manger. Allégation réitérée dimanche encore, sur Fox news, pour les oies.

Dans le Montana, un anachronisme à résoudre. Depuis 1968, l’État rural élit systématiquement un président républicain, sauf Bill Clinton en 1992. À trois reprises, en 2006, 2012 et 2018, le sénateur démocrate Jon Tester a défié cette tradition ; son combat pour un quatrième mandat est cette fois plus ardu. L’ancien agriculteur affronte un ex-militaire devenu homme d’affaires, Tim Sheeby, soutenu par Trump. Dans l’État, la croissance la population (+ 21 % en 20 ans) a fait grimper le coût de la vie et surtout les prix des logements et des terres, un argument de poids pour cette terre rurale

En Arizona, une clone de Trump en action. Le départ à la retraite de la sénatrice indépendante Kyrsten Sinema a ouvert la voie en Arizona à un duel entre le progressiste Ruben Gallego et la conservatrice Kari Lake. Celle qui a acquis une renommée nationale à la télévision, comme Trump, ne manque jamais, comme lui, de dénoncer les fraudes électorales dont elle a été victime dans sa course au poste de gouverneur en 2022. Et comme son champion, elle n’a jamais apporté la preuve du fait qu’on lui a « volé son élection ». Lake est aussi une adepte des discours incendiaires contre les migrants et contre Washington, et des attaques personnelles lorsqu’elle est à bout d’arguments. Ainsi ne manque-t-elle jamais de rappeler que le père de Ruben Gallego – qui l’a abandonné lorsqu’il était enfant – a été condamné pour trafic de drogue.

Dans le Michigan, la bataille fait rage. Emblématique des Etats-clé dont le cœur se pare une fois de bleu, une fois de rouge, le Michigan est sur la liste des points chauds depuis que la démocrate Debbie Stabenow a annoncé prendre sa retraite à l’issue de son mandat. Le candidat républicain Mike Rogers, ancien critique de Trump, compte désormais sur la dynamique du tribun pour gagner la partie. Son statut d’analyste de la sécurité nationale pour CNN lui a donné une exposition nationale, il espère devenir le premier républicain à remporter un siège au Sénat du Michigan depuis 30 ans. Face à lui, la représentante démocrate Elissa Slotkin met elle aussi son expérience en matière de sécurité nationale (elle a travaillé pour la CIA et le ministère de la Défense) et compte sur les centristes pour conserver le siège de Stabenow.

Les démocrates espèrent une victoire au Texas. Dans l’immense Texas, le vote républicain domine depuis longtemps, pourtant les démocrates rêvent de faire tomber Ted Cruz. Le sénateur venu du Tea party (extrême droite) brigue un troisième mandat malgré une popularité vacillante. En 2018, le républicain avait gagné d’un cheveu. L‘évolution démographique du Texas pèse en faveur des démocrates : l’État a vu sa population exploser (+ 36,2 % en 20 ans, pour dépasser les 30 millions d’habitants), en particulier dans les zones urbaines plutôt acquises aux démocrates.

Le parti de Biden et Harris a aligné cette fois un avocat des droits civiques, Colin Allred, fils d’une mère célibataire, boursier grâce au sport, au point de devenir joueur dans la prestigieuse NFL. Considéré comme l’élu local le plus « bipartisan » de l’État, Allred défend des positions fermes sur l’immigration mais aussi le rétablissement de l’arrêt Roe v. Wade qui garantissait la liberté d’avortement dans tout le pays.

En Pennsylvanie, la brouille des convictions. Ce swing state est un État pivot du fait des 19 délégués qu’il désigne dans la course à la Maison-Blanche. Pour le Sénat, dont l’élection se fait au suffrage universel direct, l’attention est aussi à son comble en raison du duel qui oppose le sénateur démocrate sortant Bob Casey, 64 ans, figure de la vie politique américaine, au républicain David McCormick, ancien directeur général de l’un des plus grands fonds spéculatifs au monde. Sa femme, Dina Powell McCormick, a été conseillère de Trump à la Maison-Blanche, et a travaillé pour George W. Bush.

Casey, démocrate sur les questions économiques et sociales, se montre conservateur sur les questions de société : il est, de longue date, opposé à l’avortement, au contrôle des armes à feu, et défend la peine de mort. Il pourrait convaincre les plus centristes et les plus indécis. Quant à McCormick, après s’être présenté en soutien indéfectible des « pro vie », il propose aujourd’hui aux Américains de « trouver un terrain d’entente » sur la question de l’avortement.

Visite d’État au Maroc: Emmanuel Macron et Mohammed VI à l’heure de la réconciliation

Emmanuel Macron entame ce lundi 28 octobre à Rabat une visite d’État de trois jours au Maroc. Le président français sera accompagné de son épouse et d’une importante délégation économique, culturelle, sportive, mais aussi de plusieurs membres du gouvernement. Après des années de brouille entre les deux pays, ce déplacement, plusieurs fois évoqué et reporté depuis la réélection d’Emmanuel Macron, vise à sceller la réconciliation et à préparer l’avenir.

Le roi Mohammed VI sera à l’aéroport pour accueillir en personne Emmanuel Macron, rapporte notre envoyée spéciale à Rabat, Valérie Gas. 21 coups de canons seront tirés et les deux chefs d’État se rendront ensuite en voiture d’apparat au Palais royal pour avoir un premier entretien en tête-à-tête.

Cette visite d’État doit d’abord montrer que la relation entre le roi et le président est à nouveau cordiale et confiante après des épisodes qui l’avaient mise à mal, notamment en 2021 les soupçons d’Emmanuel Macron sur l’implication des services marocains concernant la mise sur écoute de son téléphone dans l’affaire Pegasus. Mais aussi la décision de Paris de réduire les visas octroyés au Maroc pour faire pression afin que Rabat accepte le retour de ses ressortissants expulsés de France, ou encore la politique de rapprochement avec l’Algérie.

La présidentielle aux États-Unis au cœur des débats en Israël, où l’opinion est très favorable à Trump

L’élection américaine a lieu mardi 5 novembre. Le républicain Donald Trump et la démocrate Kamala Harris s’affrontent pour succéder à Joe Biden. Qu’ils le veuillent ou non, les candidats aux élections américaines n’y échappent pas. Les conflits au Proche-Orient sont au centre de la campagne électorale américaine et à Israël, l’élection américaine est aussi un sujet majeur.

L’actuelle administration américaine est sans conteste la plus favorable pour Israël de toute l’histoire de l’État hébreu. Cela même si les dirigeants israéliens ne sont pas prêts à le proclamer à haute et claire voix. Le président américain sortant Joe Biden a soutenu Israël ces derniers mois, même si parfois, il n’a pu s’empêcher de laisser échapper des mots très durs à l’égard du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu. Mais Joe Biden s’est toujours déclaré pro-Israël.

Clairement, la candidate démocrate et vice-présidente sortante Kamala Harris tente de se détacher de cette étiquette. Elle multiplie parfois volontairement, parfois sous forme de lapsus, des déclarations moins favorables. Récemment, elle a acquiescé lorsqu’un manifestant a parlé de génocide à Gaza. Puis, elle a tenté de faire machine arrière.

L’ultraconservateur Donald Trump, lui, se vante de s’entretenir presque chaque jour avec Benyamin Netanyahu et il a affirmé qu’il avait de très bonnes relations avec le Premier ministre israélien. Mais en Israël, on se rappelle qu’il n’y a pas si longtemps, il avait affirmé que « Bibi » l’avait laissé tomber et que son ministre de la Défense était « un connard ».

Les Israéliens préfèrent Trump, révèle un sondage

Selon un sondage publié récemment par la chaîne de télévision israélienne Channel 12, dans un hypothétique scénario où les Israéliens pourraient voter aux élections américaines, Donald Trump bénéficierait d’un soutien écrasant. 58 % des sondés déclarent qu’ils voteraient pour le candidat républicain, contre seulement 25 % pour la vice-présidente américaine et candidate démocrate, Kamala Harris. 17 % des Israéliens n’ont pas d’opinion.

États-Unis: Trump remplit le Madison Square Garden avec un meeting marqué par une polémique sur Porto Rico

Donald Trump a fait stade comble dimanche 27 octobre au Madison Square Garden, 20 000 de ses supporters étant venus l’écouter à New York, avec des milliers d’autres restés aux portes du stade. En venant dans sa ville, bastion démocrate, le républicain voulait montrer que sa base est bien plus importante et diverse que certains pensent et a voulu inonder la ville de ses casquettes rouges « Make America Great Again ». Il s’est présenté en sauveur des États-Unis « détruits » par Kamala Harris, mais son meeting a été marqué par des insultes à l’égard des Portoricains.

Donald Trump et les stars qui sont venus le soutenir – le milliardaire Elon Musk, Robert Francis Kennedy Jr ou l’animateur de télévision Carlson Tucker – insultent les compétences de Kamala Harris avec virulence. Enfin, l’ancien président leur répète à l’envie que la victoire est à portée de main, simplifiant les résultats des sondages.

« Nous sommes en tête dans tous les États clés, mais seulement le résultat final comptera. Dans neuf jours, nous allons vaincre Kamala Harris, reconquérir la magnifique Maison Blanche et rendre à l’Amérique sa grandeur. Et cela va aller vite ! 

Insultes à l’égard de Porto Rico

Seul faux pas : une remarque désobligeante faite sur les Portoricains par un soutien de Donald Trump a fait réagir immédiatement au-delà du Madison Square Garden. Parmi les chauffeurs de salle, l’humoriste Tony Hinchcliffe s’est distingué en comparant Porto Rico, dont beaucoup de natifs résident à New York, à « une île flottante d’ordures au milieu de l’océan ».

La séquence a rapidement été dénoncée sur les réseaux sociaux, notamment par l’équipe de campagne de la candidate Kamala Harris, qui s’est rendue dans un restaurant portoricain de Philadelphie dimanche. Et plusieurs stars portoricaines, comme le prince du reggaeton Bad Bunny ou la star Ricky Martin, ont montré leur soutien à Kamala Harris en relayant des vidéos de la démocrate sur Instagram.

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