Clap de fin ce dimanche 13 juin pour le sommet du G7 qui se tenait au Royaume-Uni cette année. Un sommet qui, contrairement aux précédents, marque le retour de l’unité entre ce club des sept pays les plus riches dans lequel ne figurent ni la Chine, ni la Russie. Deux pays qui ont fait l’objet de nombreuses discussions durant ces trois jours de sommet, tout comme le climat et la santé.
Ce G7 a été un grand succès, selon les dirigeants, mais les actes nécessaires pour la mise en œuvre de leurs multiples décisions doivent encore être mis en place, rapporte notre envoyée spéciale à Carbis Bay, en Cornouailles, Clea Broadhurst.
Ce sommet de trois jours en Cornouailles, dans le sud-est de l’Angleterre, était très attendu par les dirigeants des pays qui forment le G7. Et c’est la présence de Joe Biden, le nouveau président américain qui a permis de donner « un nouvel élan » à ce G7, comme l’a expliqué la chancelière allemande Angela Merkel. Une unité retrouvée, comme le démontre le communiqué final.
Les États-Unis, le Canada, l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie, la France et le Japon se sont engagés dans la lutte contre la pandémie de coronavirus avec un milliard de doses de vaccin qui seront distribuées lors des deux prochaines années dans une centaine de pays. Un plan pour réduire le délai pour développer de futurs vaccins et traitements va également être mis en place.